Tout d’abord, situons et définissons ce qu’est la fast fashion, ce courant de production et de consommation de textile. La fast fashion, ou mode rapide, est un segment de l’industrie de la mode qui s’est développée dans les pays riches, à travers un modèle économique reposant sur le renouvellement permanent de collections. Cette mode éphémère, parfois qualifiée de mode jetable, repose sur des prix très bas, une cadence effrénée, et une standardisation des procédés, au détriment de la qualité et de l’éthique. Si elle répond à des attentes de nouveauté constante, elle soulève de plus en plus d’interrogations quant à ses conséquences : impact environnemental, pollution des eaux, gaz à effet de serre… et l’apparition de nouveaux enjeux éthiques. La question se pose : jusqu’où ce modèle polluant peut-il perdurer ?
Comment les marques de fast-fashion fonctionnent-elles ?
Elles contrôlent l’ensemble du processus de production, depuis l’idée jusqu’au consommateur final, à travers une chaîne de production parfaitement rodée. Dans le secteur de l’habillement, ces pratiques se sont généralisées. Les marques ont des cycles extrêmement courts allant de deux à quatre semaines, ce qui représente 12 à 24 collections par an. Pour atteindre une telle vitesse, elles optimisent toutes les étapes. Le design, la couture, la qualité, les tissus, tout doit être obtenu et fabriqué à des coûts les plus humainement bas possibles. Et quand nous parlons d’humains, là aussi, le travail est « optimisé » – leur question :
« Comment pouvons-nous exploiter davantage les personnes qui fabriquent nos vêtements ? »
Ce système n’est pas neutre : il engendre des dommages sociaux considérables, notamment en imposant des conditions de travail indignes qu’il serait urgent de modifier en profondeur.
Le modèle ne peut fonctionner que parce que les gens des pays riches achètent des choses produites par des gens exploités dans les pays pauvres. Il repose sur l’inégalité entre pays. Les marques de fast-fashion produisent donc exclusivement dans des pays où la main-d’œuvre est moins chère, et où les lois éthiques en lien avec les droits de l’homme sont bafouées : la Chine, le Vietnam, le Cambodge, l’Inde ou le Bangladesh par exemple. Sur le marché américain, les marques se tournent vers des producteurs en Bolivie – par exemple pour les polos, ou les chemises – ou le Mexique.
Derrière cette provocation, se cachent des conditions de travail inacceptables, parfois assimilables à de l’exploitation, voire, dans certains cas, au travail des enfants. Une réalité qui maintient des millions de personnes dans une misère silencieuse, loin des projecteurs. La rapidité imposée par ce modèle va souvent de pair avec une mauvaise qualité des vêtements : conçus pour être consommés très vite, ils sont aussi rapidement remplacés.
Tout est pensé pour encourager un renouvellement constant, sans se soucier des conséquences humaines, sociales et environnementales.
Une stratégie d’achat fondée sur l’urgence

Zara est, par exemple, plus rusé que les autres. On peut sortir de chez Zara avec une chemise ou un vêtement à 100 €. Le vêtement n’est pas pour autant de meilleure qualité, mais la marge est incroyablement élevée. Car Zara crée des vêtements à la mode, et c’est un autre des points importants propre à la fast-fashion. Ils produisent des vêtements toutes les deux semaines qui sont censés sortir dans ce même laps de temps. Ainsi, quand vous entrez dans le magasin, vous voyez des vêtements, et vous devez les acheter maintenant. Sinon dans deux semaines ils ne seront plus là, ce qui crée donc un sentiment d’urgence – le fameux FOMO. Mais ce que vous avez acheté il y a deux semaines est déjà démodé ! Et donc la fast-fashion, comme son nom l’indique, implique aussi une vitesse de rotation effrénée de ce que vous achetez aujourd’hui, réduisant drastiquement la durée de vie des vêtements avant qu’ils ne soient déjà perçus comme démodés. Cette cadence ultra rapide pousse à l’achat compulsif, sans laisser le temps d’un choix raisonné.
Un modèle instable à la rentabilité fragile
Ainsi, une marque de fast-fashion doit vendre en quantités phénoménales pour être rentable. Certaines enseignes écoulent ainsi plus d’un milliard de pièces par an dans le monde. Si les coûts de production augmentent, par exemple parce qu’une nouvelle loi au Bangladesh prescrit que les travailleurs doivent recevoir un salaire plus digne (ce qui n’est pas le cas actuellement, ils travaillent pour des salaires qui ne sont pas viables)… supposons donc que les salaires augmentent, ou bien que les clients à Londres exigent une meilleure qualité, ou plus d’éthique ou de durabilité, la marge de départ qui est trop mince amène à la perte. Le modèle est donc très instable, bien qu’il génère chaque année plusieurs millions de vêtements vendus à travers le monde – mais avec très peu de marge de manœuvre en cas de problème ou de changement d’équation.
Sur quoi repose le modèle économique ?
Pour maintenir le rythme de 12 à 24 collections par an, ces marques doivent couper les coûts de partout. Elles grignotent dès le départ sur le design. Elles n’ont pas de vrai bureau d’études. Le design prend beaucoup de temps pour émerger et devenir concret. C’est un processus. La copie, elle va beaucoup plus vite. Elles se contentent donc de copier simplement ce que font les créateurs de prêt-à-porter – en prenant bien sûr soin de copier à la frontière de la propriété intellectuelle. Ce raccourci dans le processus de fabrication leur permet de produire à grande échelle sans passer par les phases de création complexes.
Ensuite, elles produisent en très grandes quantités, optant pour une production en masse, afin de réduire le coût unitaire, et elles pré-produisent tout en très grande quantité – parfois bien au-delà des besoins réels. Et s’il y a des invendus, ils sont tout simplement brûlés – des tonnes de vêtements éliminés chaque année, comme le fait par exemple H&M dans son usine de Vasteras. Une logique industrielle qui s’inscrit dans une économie linéaire à fort impact environnemental, laissant une empreinte écologique profonde et durable. Ce gaspillage massif participe aussi activement à la pollution de l’eau mais aussi de l’air et au réchauffement climatique, par la libération directe de gaz à effet de serre.
Comment savoir si une marque rentre ou pas dans cette industrie de la fast-fashion ?

Remonter les filières de fast-fashion…
Une façon de le savoir pourrait être de suivre la filière de la catastrophe qui s’est produite dans l’industrie du vêtement en 2013 : la grande usine de confection Rana Plaza s’est effondrée au Bangladesh ensevelissant les gens qui y travaillaient dedans. Ces informations étant publiques, on peut dénicher la liste des marques étrangères qui produisaient des vêtements dans cette usine : Wal-Mart aux États-Unis, Primark, Tex en France, Benetton en Italie, Mango en Espagne, Joe Fresh pour ne citer que les plus célèbres.
Ces marques provenaient de nombreux pays différents. Et elles ne sont même pas toutes nécessairement bon marché. Pour certaines, on peut plutôt les considérer comme des marques à prix « normaux ». Ces marques ont permis, ont consenti à la fabrication de vêtements dans une usine qui n’était pas destinée à être une usine. Le bâtiment n’était pas conçu pour cela. Les règles de sécurité n’ont pas été respectées et les droits de l’homme ignorés.
Deuxièmement, à partir de cette liste, cherchez si une marque pourrait également appartenir à un groupe plus important. Par exemple, Inditex, le géant espagnol propriétaire de Zara, Massimo Dutti, Bershka, Pull & Bear, etc. Ces marques sont positionnées différemment et s’adressent à une grande variété de styles de consommateurs. Mais la probabilité qu’Inditex utilise la même chaîne d’approvisionnement pour toutes ses marques est extrêmement haute. En fait, Zara produisait également au Bangladesh lorsque le Rana Plaza s’est effondré. Et Gap. Et H&M. Topshop… Forever21… la liste est encore longue… Le Bangladesh avait à l’époque un salaire de 38 dollars par mois. C’était le moins cher du monde.
Ensuite, il s’agit de comprendre l’état d’esprit de ces entreprises de vêtements. Après l’effondrement du Rana Plaza, les marques ont dû déménager car elles étaient sous le feu des projecteurs. Elles n’ont donc pas pu s’échapper en disant:
« Oups, nous ne savions pas. »ou
« Oh, mais tu sais ce n’est pas nous, c’était un entrepreneur d’une filiale d’une filiale. »
Cela n’aurait pas pu marcher. Ainsi, plus de 200 marques ont signé l’Accord du Bangladesh obligeant à une surveillance de la sécurité des usines de confection textile et leur protection contre les incendies.

Quelle évolution depuis le Rana Plaza ?
En sept ans, les choses ont évolué. Les dangers ont été amenuisés, la sécurité a augmenté. Certaines usines trop dangereuses ont carrément fermé. Cependant, les ouvriers de l’industrie du vêtement au Bangladesh peuvent-ils maintenant vivre de leur travail ? Non. Le salaire minimum au Bangladesh est passé de 38 à 93 dollars américains. Cela pourrait sembler beaucoup, mais en fait, la hausse ne tient pas compte de l’inflation, puisque le salaire minimum devrait véritablement atteindre les 200€ ou 300€. Soit l’équivalent du coût de la vie moyenne dans ces pays. Nous sommes donc encore loin de rendre l’industrie de la mode humaine, éthique, ni de payer correctement ces travailleurs du Bangladesh, juste pour prendre l’exemple de ce pays.
Que faire pour stopper la fast-fashion ?
Enfin, notre dernière recommandation est de simplement regarder le prix du vêtement et de faire son propre calcul. Par exemple, si vous entrez chez Primark et que vous voyez un T-shirt à 5 euros, même en période de solde, comment est-ce possible ? Faisons le calcul. Normalement, le détaillant prend 50 % de marge. La marge de la marque est d’environ 25%, et puisque, dans cet exemple, Primark est une marque et un détaillant, il récupère 75%. 25% sont laissés aux intermédiaires, soit le transport, la gestion d’usine, les frais généraux, la fabrication et à la fin, l’ouvrier. Cela vous donne une indication de combien cette personne gagnera sur le T-shirt.
Maintenant, on pourrait penser que si on arrêtait d’acheter des vêtements provenant du Bangladesh, ces travailleurs perdraient leur emploi. Mais en fait, pas nécessairement. Car comme il n’y a pas de pays de fabrication moins cher vers lequel les marques pourraient se tourner, et comme la part de la marge revenant au travailleur est extrêmement faible, au final, augmenter le salaire et donc le prix aurait d’infimes répercussions sur la marque et donc sur nous.
Voyons à présent ce que chacun, en tant que consommateur averti dans notre monde, pouvons faire pour sortir de ce cercle vicieux.

J’en ai besoin ou j’en ai envie ?
La première chose à faire est d’arrêter de se ruer sur des articles de mode qui seront de toutes façons sorties des tendances le mois prochain. Au lieu de cela, tournez-vous vers des pièces élégantes, des basiques, de beaux classiques. Des vêtements intemporels qui vous ressemblent, sans céder aux diktats environnementaux imposés par la fast fashion. Ces mots sont toujours indicateurs de choses que vous porterez toujours dans quelques années. Une manière de consommer plus consciemment, sans sacrifier son style. Et si c’est un style particulier mais que c’est bien le vôtre, que vous savez que cela correspond à votre silhouette, à vos coloris naturels, à votre personnalité et à votre mode de vie, pas seulement aujourd’hui, mais pour une jolie durée de temps, alors là, achetez-les ! Et si vous repensiez votre style à la racine, pour ne plus jamais céder aux diktats de la fast fashion ?
De nouvelles enseignes loin de la fast-fashion
Une deuxième chose judicieuse est de considérer les friperies, brocantes, ou les boutiques en ligne de vêtements entre particuliers. Vous pourrez y trouver des pièces de seconde main d’une qualité bien supérieure, tout en faisant un geste pour la planète. Ce sont là de belles alternatives à la fast fashion, alliant style et conscience. Ces modes de consommation s’inscrivent dans une logique de mode durable, en rupture avec la mode traditionnelle et plus respectueuse des personnes et de l’environnement — à mille lieues de l’éphémère. Certains parlent même aujourd’hui de slow fashion, ou encore de mode responsable, en opposition à cette frénésie d’achat. Et pourquoi ne pas aller plus loin encore, en s’intéressant au commerce équitable, qui garantit des conditions de travail décentes et une rémunération plus juste tout au long de la chaîne ?
Lisez les étiquettes et faites du « less is more »
Autre point bien sûr : commencez à prendre des décisions éclairées sur la façon dont vous consommez, et comment vous construisez votre garde-robe. Par exemple, lorsque vous vous apprêtez à acheter, ou même simplement essayer un vêtement, ayez le réflexe de repérer l’étiquette blanche pleine de texte et notez bien le pays de production. Laissez tomber tout pays producteur de fast fashion. Car il existe suffisamment d’autres options plus éco responsables, intégrées dans une logique de développement durable, respectueuse non seulement de l’environnement mais aussi des enjeux sociaux.
Vous pouvez aussi repenser votre consommation dans une perspective de réduction, en privilégiant des vêtements qui auront une seconde vie. Un simple ourlet, un accessoire ou un changement de bouton peuvent parfois suffire à modifier un vêtement pour lui redonner de l’allure. Et si un vêtement ne vous convient plus, pourquoi ne pas opter pour le recyclage ou le déposer dans une collecte textile, afin qu’il puisse être valorisé autrement, et éviter de finir en déchet textile prématuré ? Une solution simple, mais concrète, pour allonger la durée de vie des produits. Ces gestes simples participent à atténuer l’empreinte de cette industrie polluante.

Des mouvements à suivre
Chaque année en avril, le mouvement Fashion Revolution rend hommage à la catastrophe du Rana Plaza, en appelant à plus de transparence dans l’industrie textile. Sur les réseaux, des campagnes comme #WhoMadeMyClothes (ou #QuiAFaitMesVêtements) encouragent les consommateurs à interroger les marques sur leurs pratiques. Un hommage nécessaire à un drame humain qui aurait pu être évité.
Une issue de sortie de la fast-fashion ?
Les adolescents et jeunes adultes en Europe et dans le monde entier sont de plus en plus soucieux de l’environnement aujourd’hui – résultante de l’effet Greta Thunberg. Ils commencent à vouloir des informations sur les méthodes de fabrication. La question de la future stratégie de Primark est donc:
« Où en serons-nous dans trois ans, si notre cible même devient beaucoup plus consciente et développe des exigences élevées sur leurs vêtements ? Peut-être se tourneront-ils vers des marques plus durables ou éthiques et nous disparaitrons ? »
Primark est conscient de ce danger. C’est pourquoi ils ont récemment présenté la soit-disant «Collection durable» fabriquée avec du coton biologique …ou du coton partiellement recyclé, sans pour autant garantir des conditions de travail décentes. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que «durable» ne signifie pas «éthique». C’est beaucoup plus facile et meilleur marché d’acheter des matières premières durables pour la production, que de payer des salaires décents aux travailleurs du textile. Rien n’est dit non plus sur l’exploitation des travailleurs ou sur leur sécurité.
Tout cela n’est, au fond, qu’un bel exemple de greenwashing, destiné à améliorer leur image sans changer profondément le système économique sur lequel repose la fast fashion.
Et ce système a un coût écologique lourd : entre empreinte carbone colossale, pollution et production à l’excès, la planète paie le prix fort.
En réalité, si l’on veut faire les choses correctement, nous devons exiger des matières premières durables ET une production cohérente avec des principes éthiques. Le tout n’apparaît donc que comme une campagne de marketing, avec laquelle Primark essaie de se racheter une image. En réalité, disons-le clairement, ils sont l’un des les joueurs les plus malsains de l’industrie de cette fast-fashion. De plus, à ce jour, la « Collection durable » ne représente qu’une infime partie de sa gamme. Des ONG comme Greenpeace alertent d’ailleurs depuis des années sur les ravages environnementaux et humains liés à ce modèle. Oui, leurs ventes augmentent, ils se portent bien actuellement. Toutefois, il s’agit d’une croissance artificielle, car ils ouvrent toujours de nouvelles succursales.
L’offensive politique française : vers une taxation des marques toxiques ?

Depuis début 2024, le gouvernement français a pris la parole sur un sujet jusqu’alors porté par les ONG : la fast fashion. Une proposition de loi inédite en France, adoptée à l’unanimité à l’Assemblée nationale en mars 2024, ambitionnait de mettre un coup d’arrêt à la dérive textile en ciblant en priorité les géants de l’ultra fast fashion, dont Shein ou Temu sont devenus les symboles.
Au cœur du texte initial figurent plusieurs mesures ambitieuses : éco-contribution obligatoire sur les vêtements à très bas prix, interdiction de publicité pour les marques les plus polluantes, étiquetage environnemental clair, ou encore plafond de renouvellement des collections. En somme, une tentative de redonner un cadre à une industrie qui s’est littéralement affranchie de toute régulation.
Mais depuis, en 2025, les débats ont révélé une réalité plus nuancée. Le texte, actuellement en attente au Sénat, pourrait être vidé de sa substance : certaines mesures comme l’interdiction de publicité ou l’encadrement des collections risquent d’être abandonnées. Des associations comme Oxfam ou Greenpeace dénoncent un détricotage progressif sous la pression de certains lobbies industriels. Ce ralentissement législatif suscite une question légitime : la volonté politique est-elle réelle, ou simplement cosmétique ?
Cette loi ne fera pas tout. Mais elle a au moins le mérite de poser un débat public essentiel, et d’inscrire la cause textile dans le champ politique. En tant que citoyennes et consommatrices, nous avons aussi un rôle à jouer : nos choix vestimentaires sont des actes politiques. Soutenir une mode plus éthique, c’est aussi encourager une régulation à la hauteur de l’urgence environnementale et sociale.
Toute une rééducation à faire…
En conclusion, il faut se dire que tant que les entreprises jouissent d’une impunité, la quête du moindre coût sera toujours privilégiée face aux dommages collatéraux. Il s’agit donc de continuer l’éducation de tous. C’est un collectif éveillé qui fera bouger les lignes. Aller dans les écoles, dans la rue, faire de l’information. Plus les consommateurs seront éduqués, mieux ce sera pour tous. Sans oublier qu’il faut continuer à questionner les marques. Si nous semblons nous diriger vers une évolution drastique et durable, le chemin vers les bonnes pratiques paraît encore long. Les Nations Unies travaillent actuellement à la rédaction d’un traité visant à imposer une meilleure régulation du secteur. Face à l’urgence de la situation, et malgré un calendrier officiel encore non daté, gageons que les résultats seront à la hauteur.
Voici une vidéo pour vous aider à vous poser les bonnes questions au moment de vos achats :
A moins que vous ne préfériez visionner cette nouvelle vidéo :
Ou encore celle-ci sur le mensonges que la Fast Fashion essaye de nous faire croire !
Découvrez également dans cette vidéo comment sublimer l’imprimé léopard avec style, raffinement et assurance, quel que soit votre âge. Je vous dévoile 13 façons modernes et élégantes, voire audacieuses d’intégrer ce motif iconique à votre garde-robe, sans jamais tomber dans l’excès ni la vulgarité. Faites comme moi, osez l’imprimé animalier… en toute distinction. Et si vous avez plus de 45 ans (ou 60 comme moi ;-)), cette vidéo est faite pour vous !
A vous de jouer !
Et vous, comment achetez-vous ? Quelle consommatrice êtes-vous ? Quelle prise de conscience cela éveille-t-il en vous ? Aimeriez-vous changer vos habitudes en vous éloignant de cette fast-fashion ?
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Auteur best-seller, conférencière, élue parmi les « 50 Influential Women of the World » en 2023, fondatrice de la Styling Academy et consultante en image depuis 1993 avec plus de 200 K d’abonnés, Myriam et son équipe ont accompagné des milliers de personnes à mieux s’aimer et à rayonner par l’image de soi grâce à la méthode Première Impression®.
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